Gouvernance - Pouvoir - Coopération

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IBRU une unité de recherche sur les frontières internationales. Elle fournit un travail de recherche, de conseil et de formation afin de donner une meilleure compréhension des zones frontalières, de contribuer à la résolution pacifique des conflits frontaliers et d’aborder des questions géographiques plus larges concernant la nature changeante de la souveraineté, du territoire, de la citoyenneté et de l'organisation politique de l'espace.

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Cette étude permet d’analyser les conséquences (pour le citoyen) de la mise en place d’un espace qui soit véritablement transfrontalier en ce qui concerne l’accès aux maternités. Elle souligne aussi l’importance de la coopération sanitaire dans la Grande Région afin d’éviter des zones de fragilité. Les exemples étudiés dans l’espace de cette région, permettent d’apporter une matière utile aux décideurs politique en matière de l’aménagement du territoire. L’analyse souligne l’importance d’une coopération sanitaire qui repose sur une collaboration à différents niveaux : administratif, économique, technique mais aussi culturel afin de déterminer la faisabilité d’une telle démarche.

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Cet article a pour objectif d’évaluer le statut démocratique et les perspectives du niveau stratégique, institutionnel et coopératif au sein des régions transfrontalières. Il se base sur une étude de cas de la région de l’Øresund, qui se trouve à la frontière entre le Danemark et la Suède, et est complété par des preuves secondaires provenant d'autres régions transfrontalières. Se posent alors les questions suivantes :

  • Les stratégies favorisées ont-elles une portée démocratique ?
  • Les institutions sont-elles responsables vis-à-vis des citoyens de la région au sens traditionnel ?
  • Cette coopération concrète inclut-elle de larges catégories de citoyens ?
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L’objectif de livre est de montrer des moyens pour adoucir les frontières et d’éviter la discrimination et la marginalisation que la séparation peut amener. Afin d’approfondir le débat, le livre mobilise le cadre théorique l'écologie sociale. L’écologie sociale s’intéresse aux relations complexe entre la nature et la société et donnent des perspectives en montrant la manière dont des problématiques l’environnemental sont dépendants du contexte social.

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Grâce aux bassins miniers transfrontaliers, des villes se sont développées le long des frontières de l’espace Saar-Lor-Lux.  Le secteur étant en crise, ces espaces urbains doivent faire face à un déclin démographique et économique. De plus, il y a une disparition progressive des frontières. Dès lors, de nouvelles stratégies d’organisation se mettent en place. Cet article présente deux stratégies : les politiques d’agglomérations ou les réseaux de villes transfrontaliers. Les forces et les faiblesses de ces stratégies sont discutées dans l’article.

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L’article présente les stratégies de développement mises en place fin des années 90 par les agglomérations urbaines lorraines situées à la frontière franco-luxembourgeoise. Nées à l’âge d’or de l’industrie extractive et de la sidérurgie, ces villes ont dû faire face à une situation économique et sociale difficile dans les années qui ont suivi les Trente Glorieuses. De nouvelles voies de développement se sont offertes à elles grâce à la politique régionale de l’UE favorable aux coopérations transfrontalières. Les recherches présentées ont porté sur l’apport de ces nouvelles politiques pour améliorer les conditions de vie des populations frontalières, mais aussi sur leurs limites et leurs perspectives d’évolution.

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Les eurorégions peuvent être définies comme des structures transfrontalières européennes qui jouent un rôle influent aux frontières des pays européens. Les eurorégions jouent un rôle important dans la propension à accroître la coopération territoriale. Il est donc important apporter un soutien au développement de ces structures. Cet ouvrage présente un catalogue des bonnes pratiques des eurogions afin de fournir des solutions susceptibles d'inspirer un niveau plus élevé de cohésion transfrontalière et un progrès favorable dans le processus d'intégration européenne.

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Sur la base d’une large enquête réalisée en 2010 et 2011 auprès d’un échantillon représentatif de travailleurs frontaliers au Luxembourg, le CEPS/INSTEAD publie, en collaboration avec Forum EUROPA, l’Université de Strasbourg et le CNRS, un cahier consacré à la mobilité quotidienne des frontaliers. Ce cahier regroupe 13 chapitres qui portent sur des thèmes complémentaires, et qui forment une synthèse des principaux enseignements de la mobilité des frontaliers. Un des principaux enseignements de l’enquête est l’augmentation significative du recours au transport en commun comme moyen principal de déplacement domicile-travail, même si l’usage de la voiture reste majoritaire. La qualité de l’offre en transports en commun (temps de parcours, desserte, fiabilité, confort, etc.) joue un rôle déterminant dans le choix du mode de transport par les frontaliers, tout comme les conditions de stationnement au lieu de travail. Les frontaliers habitent en moyenne à 44 km de leur lieu de travail et mettent 53 minutes pour s’y rendre. Cet éloignement au lieu de travail conduit la moitié des frontaliers à partir de leur domicile avant 7h du matin. Les automobilistes sont 60% à se déclarer satisfaits ou très satisfaits de leurs déplacements domicile-travail. Les frontaliers utilisant le train sont en général plus satisfaits car ils sont 74% à se déclarer satisfaits ou très satisfaits. D’ailleurs, c’est au niveau du train que la fatigue se fait le moins ressentir par rapport aux perceptions vécues au quotidien dans les modes de transport. Si 73% des ménages frontaliers possèdent au moins deux voitures, de manière générale l’opinion à propos de la voiture est assez contrastée. Mais la mobilité des frontaliers ne se résume pas au déplacement domicile-travail, puisqu’un frontalier sur cinq se déplace au Luxembourg pour effectuer une activité en-dehors de son travail, principalement pour se rendre au restaurant ou faire des courses. En moyenne, les frontaliers consacrent ainsi 2 heures par jour et parcourent 100 km pour l’ensemble de leurs déplacements.

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Le Central European Service for Cross-border Initiatives a été créé en 2009 sur le modèle de l’association française Mission Opérationnelle Transfrontalière. Le Centre a comme objectif de faciliter la réalisation de projets transfrontaliers. Il est soutenu au niveau national et regroupe également les acteurs des territoires frontaliers, lui permet de veiller à un dialogue structuré entre les autorités (nationales et européennes), ainsi que les acteurs locaux et régionaux.